Review : PSB fundamental.
C’est un joli album : un album gay, un album rose, fait de musique à danser, de paillettes, et de sucré.
Un de ses albums pop qu’on écoute pour bouger, s’amuser, et délirer … de la musique légère mais pas facile… des rythmes dansés, chantés, électroniques.
Et des balades … jolies balades portées par la voix douce de Neil et les synthés parfaits de Chris … un duo anglais connu pour ses tenues excentriques, leur homosexualité vite avouée, et leurs disques à succès.
C’est un album parfait ni bon ni mauvais, seulement bien chiadé, bien travaillé et mélodieux.
Faut il aimer les PSB pour aimer cet album ?
Sûrement … parce qu’on retrouve leurs codes, leurs gimmicks, un peu d’eux-mêmes, beaucoup de trevor Horn un grand producteur qui a déjà travaillé avec le groupe fin 80’s … pas forcément parce que leurs mélodies sont entêtantes, accrocheuses, parce qu’ils savent délirer et s’oublier … parce que de nos jours on se demande qui fait de la pop et qu’on a trouvé un groupe qui assume ce terme galvaudé …alors pourquoi s’en priver.
D’une pop minimaliste, oppressante, à la dépêche mode époque violator pour ouvrir le bal, à des délires psychédéliques post modernes sur un show en l’honneur de Sodome et Gomorrhe les psb ne nous épargnent rien pour notre plus grand bonheur.
Un vrai régal auditif, ni trop putassier, ni fade, parfait pour l’été.
Le cd est rose, la pochette noire … comment mieux résumer l’album !
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